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25 Commentaires

Season One Sci-Fi Edition #7: Babylon 5 et Buffy contre les vampires

Season One Sci-Fi Edition #7: Babylon 5 et Buffy contre les vampires
Alexandre LETREN

Emission double avant la pause estivale de cette édition Sci-Fi et deux séries cultes au programme avec Babylon 5 et Buffy. Accompagnés de Cédric Bonnet et Patrick Beja, nous revenons sur ces deux monuments de la  télévision.

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Deux monuments de la télévision cette semaine. Et on s’en va dans l’espace pour commencer avec la dernière navette spéciale de type Babylon: Babylon 5

Babylon5

On poursuite en revenant sur Terre avec une série dont on a pas mal parler à Comic Con Paris et qui est culte pour toute une génération: Buffy contre les vampires

buffy1

Pour télécharger le fichier mp3 c’est ici que ça se passe.

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  • Pingback: ExPRESSeries #93 – 08/07/13 – The Bridge, Ironside, Haven, Elementary, Hero Corp, Comic-Con, Wes & Travis… – seriesTVnews.com()

  • http://scrinagers.wordpress.com Kadotori

    Bonjour a tous et merci pour ce spécial B5 & Buffy,

    Pas encore eu le temps de l’écouter en entier, mais juste un message rapide @Patrick, qui semble un peu récalcitrant à Babylon 5 :

    Passons rapidement sur le fait que, certes, la série à visuellement vieilli (encore que je la regarde toujours avec autant de plaisir).

    B5 est une série intensément politique. Qu’il s’agisse du niveau cosmique (un grand conflit majeur), du niveau intérieur de chaque grande race (chacune d’entre elle a sa propre histoire développée, et en interaction avec l’ensemble), du niveau purement « humain » (des notions comme la resistance, les complots, etc…) ou encore plus simplement de la gestion quotidienne d’un « ONU » de l’espace…

    B5 c’est une écriture comme je n’en ai jamais retrouvée depuis, des éléments lancés en première saison trouvent leur résolution en saisons 4/5, et en toute cohérence…

    Bref, B5 c’est en termes d’écriture la meilleure série de SF ever (largement au-dessus de Battlestar Galactica (que j’adore au demeurant, mais qui finit par tourner en rond, et ne va pas au bout des pistes entamées) de ce point de vue par exemple…)

    A voir ABSOLUMENT !!!!!!!

  • http://www.dailymars.net Lord-of-babylon

    Un peu déçu par la partie consacré à Babylon 5. La présentation est bien faite mais j’ai l’impression que vous vous perdez dans des détails certes intéressants mais sans vraiment parler des vrais spécificités à la série tel que cette fusion des deux arcs basé sur l’ennemi extérieur (les ombres) et intérieur (la Terre qui bascule dans la dictature). La construction narrative de la série est abordé (étonné toutefois de ne pas avoir abordé, comme exemple de ré-ajustement, le départ précipité de Michael O’Hare) mais j’ai eu l’impression que ce n’était pas assez mis en évidence. Tout comme l’évolution des personnage totalement maitrisé tel que G’Kar et Londo Mollari

    Je suis un peu resté sur ma faim sur le fait que vous ayez peu abordé le fait que Babylon 5 est la série d’un homme : Straczynski et qui porte en elle énormément de ses thématiques et préoccupation d’auteur. Il ne faut pas oublier qu’il a écrit la grande majorité des épisodes.

    Cela manque notamment pour convaincre Cédric Bonnet ou Patrick Beja (je suis désolé je ne sais plus qui était qui) qui a tout de même de très gros clichés envers Star Trek.

    D’ailleurs je suis bien content qu’Alexandre ai parlé de DS9 série soeur de Babylon 5 dont le visionnage des deux offre un panorama exhaustif de ce que la SF peut faire de mieux (et pour ma part BSG ne reprendra que ces thèmes avec juste un coup de polish et sans jamais atteindre leur niveau de qualité narratives).

    J’ai aussi eu l’impression que la personne fan de la série (Cédric ou Patrick encore une fois désolé de ne pas avoir su vous distinguer) s’excusait sur des points qui sont aussi la force de la série. Alors oui il faut être clair Babylon 5 a vieilli notamment sur les effets numérique (d’ailleurs, et je ne crois pas que cela fut souligné, elle fut la première série à les utiliser en masse) mais pas sur les maquillages et surtout elle offre des batailles spatiales grandiose. Non pas pour leur nombre mais bel et bien par leur nature de sommet dramatique et de dénouement d’intrigue et là je renvoie au triple épisode de la saison 3 qui voit le statut quo de la série changé et une redistribution complète des cartes.

    Malgré tout j’ai aimé et cela me fait beaucoup plaisir que vous ayez consacré une partie de l’émission à cette grandiose et unique série.

    Vivement une consacré à Star Trek et surtout DS9 pour effacer quelques idées reçue ;)

    (je suis toujours étonné du faible intérêt pour DS9 de la part des fans de BSG alors que cette série est la matrice de la série de Moore)

  • http://www.dailymars.net Lord-of-babylon

    Ha merci Kadotori ta abordé un truc que j’ai zappé : le caractère de révolution comme motif narratif qui se retrouve à différente échelle dans la série.

    • http://twitter.com/alexandreletren Alexandre LETREN

      Je comprend ta frustration mais nous voulions éviter avec notre émission ce que tu viens de faire avec ton commentaire: le SPOILER. Très difficile de donner envie à quelqu’un qui n’a pas vu la série (c’est le cas ici de Patrick comme surement de pas mal d’auditeurs) et en même temps satisfaire les fans de la série.
      Je préfère privilégier la première car c’est moins irréversible que de balancer des spoilers.
      Ce qui certains c’est que quand on aborde ce genre de séries, on arrive toujours au moment où les fans ressentent de la frustration.

      • http://scrinagers.wordpress.com Kadotori

        Pour écouter Patrick Beja depuis longtemps dans de nombreuses émissions (de Azeroth.fr au tout récent Positron, en passant par les podcasts en anglais comme Phileas club ou movielicious) j’ai une certitude :

        Patrick, si tu regarde Babylon 5 et que tu lui donne sa chance (vas au moins jusqu’au milieu de la saison 2), TU VAS ADORER !!!!!!!

  • Gnome

    Deux séries que j’a regardées assez récemment, et aimées toutes les deux!
    En fait, la première saison de Babylon 5 met en place les archétypes classiques des séries SF, avec ses races brossées à gros traits, son format un épisode/une histoire (de qualité, ceci étant dit)…et puis tout ceci bascule, et en fin de saison, la mise en place du fil rouge donne l’occasion d’approfondir tout ça, et regarder ce qui se passe derrière les archétypes.
    Les intrigues se mettent à évoquer des heures sombres de notre histoire, des questionnements religieux, moraux, les personnages comiques s’avèrent avoir une réelle profondeur, et on se passionne pour des personnages qui s’avère bien plus épais que la couche de latex qui les recouvre…(d’aileurs, les maquillages sont très biens).
    ça vaut vraiment le coup, même si les décors et les scènes spatiales ont vieilli, parce que l’intrigue est magistrale.

    Pour Buffy, on est dans la démonstration que pour avoir une bonne série, il faut avant tout de bons personnages. leur écriture les rend tous attachants, et on s’intéresse du coup énormément à leurs angoisses et leurs faiblesses, et bien sûr à la façon dont ils les combattent.
    Peut être même que le coté cheap s’est au final avéré un point fort, du moins vis-à-vis des spectateurs déjà embarqués dans la série, car le ridicule des monstres force à voir au delà de leur apparence, et à s’intéresser à ce qu’ils symbolisent (les angoisses que je mentionnais avant). D’ailleurs on touche là au cœur du fantastique, puisque tout élément fantastique est une allégorie déguisée.

    à la rentrée pour le retour sur Xfiles.

  • GoldenArrow

    1) Rien que pour entendre Xander et Giles commenter les situations dans lesquelles le « scooby gang » se retrouvait, la première saison valait le coup.

    2) On ne peut pas parler de cette première saison, sans mentionner le fait indéniable que pour la première fois à la télé, on avait des scènes de combat qui tranchaient somptueusement par leur dynamisme avec ce qu’on nous avait donné l’habitude de voir ailleurs (de ce point de vue, beaucoup de séries font encore rire de nos jours)à un point tel qu’on attendait le fameux « enchaînement » spécial de la saison.

    3) Autre première: l’ouverture d’esprit des personnages vis à vis de cultures aussi hétéroclites qu’hétérogènes. Ils n’étaient ni aussi snobs ni aussi blasés que dans les autres séries (là encore, bien des séries d’aujourd’hui rament loin derrière). C’est d’une intelligence capitale !

    4) La diversité des thèmes abordés, diversité qu’on ne retrouvera pas dans les autres saisons. Ce que cette première saison avait réussi à faire c’est d’amener le spectateur à avoir la curiosité de voir comment le thème du jour, pourtant attendu, allait être abordé.

    5) Dans cette première saison, contrairement à la plupart d’autres productions, le piège de faire des personnages adultes derrière un masque de jeunes a été brillammment décliné.

    6) Loin de vouloir faire du kitch, l’équipe de scénaristes se livrait à l’exercice du cadavre exquis et ce ironiquement sur le dos d’un bon nombre de références issues tout droit des défauts du film (ils ont tous été torpillés les uns à la suite des autres). Tout en mettant en place un nouveau système d’écriture de groupe, on réveillait les neurones du spectateur en lui disant « voilà ce que vous avez accepté de regarder jusque là, dans quelques épisodes on va vous montrer ce que peut devenir une série télé »

    Cette première saison est un méta discours qui va amener les personnages à débuter leur parcours, non pas directement dans le Buffyverse, mais à vivre leurs aventures dans une caricature des diverses séries qui encombraient le petit écran d’alors, toutes conçues pour laisser place au format publicitaire et son déluge de préjugés sociaux sur le comportement des cibles visées.

    C’est ce méta discours sur la culture télé de l’époque qui va profondément bouleverser le marché et amener les grands groupes à reconsidérer leur point de vue sur les sériephiles, jusqu’alors considérés comme minoritaires par rapport aux ménages dans l’ensemble du grand public.
    Ces derniers sont désormais étudiants, et publient des thèses sur les références qu’ils retrouvent dans leur programme tv, ils veulent partager bien plus que des produits de grande consommation, ils veulent partager des idées sur la société qu’ils vivent au quotidien.
    Buffy, première saison comprise, à apporté bien plus qu’un vocabulaire ouvert sur la manière de conter une saga. Cette série à ouvert toutes les séries qui ont suivi, sur notre monde, non pas dans ce qu’il répète d’intemporel, mais dans ce qu’il apporte de nouveau au quotidien.

    Donc soit on comprend que la première saison a des ramifications jusque dans la manière de raconter visuellement comment Anya, par exemple, retrace les événements de sa vie au village natal, soit on ne comprend pas et on en passe quelques extraits dans une émission nombriliste de la télé sur elle-même où l’on aurait invité Whedon pour lui remontrer ce que l’on croirait être ses « casserolles ».

  • Maxxxx

    Bonjour,

    Pour info, la série Bablylon 5 a été tournée entièrement en 16/9, seules les images générées par ordinateurs pour des raisons techniques étaient en 4/3 recadrées 16/9 , d’ailleurs à l’époque c’était assez rare (Star Trek a eu droit au 16/9 qu’à partir de Star Trek Enterprise (2001)).

    La diffusion à la télévision était recadrée 4/3 malheureusement avec une VF vraiment pas terrible. Je conseille donc la version dvd Vostf et en 16/9 pour apprécier à sa juste valeur cette fantastique série.

    Par contre petite remarque, j’apprécie beaucoup Mr Bonnet ainsi que Mr Beja dans leur podcast respectif Tech, mais les voir s’improviser spécialistes en séries, je suis un peu perplexe..^^ Heureusement qu’Alex est là pour recadrer tout ça..

    Bon podcast dans l’ensemble.

    • http://twitter.com/alexandreletren Alexandre LETREN

      Merci beaucoup!! Mais je rectifie pour dire que Patrick et Cédric ne s’improvisent rien du tout, ils viennent juste parler séries avec nous, et ils le font plutôt bien je trouve

  • Ronal Dhumour

    Bon, je m’lance.

    Le comicon est en train de vivre ses meilleurs moments, quand un journaleux demande:

    – hé Ronald D. Moore cé koi pour vous Babylon 5 ?

    Perplexe, le showrunner tente de rajuster son oreillette, un regard à droite, puis à gauche, sourire entendu avec ses collaborateurs puis…

    – he’s number 6 and Cavill’s son. God in his infinite Wisdom had decided to call the four formers baby-lon 1, baby-lon 2, etc…

    Bon, Okay…Je sors.

  • Shambo

    Un peu déçu de la partie sur Buffy car on passe la moitié du temps à parler du pilote. J’aurais aimé de parler des épisodes qui « stand alone » genre l’épisode muet, l’episode sur la mort d’un parent, l’episode musical, l’episode du multiverse où Buffy ne serait jamais venue à Sunnydale ou des sujets abordés tous au court de la série comme les métaphores sur la sexualité des ados, la solitude,…

    Je pense que certains podcast gagnerait en qualité avec un vrai fan de la série abordée dans certains podcast.

    Sinon pour terminer sur une note possitif, je suis toujours ravi d’écouter vos podcast, Vivement la saison oprochaine

  • jean marc dacier

    Salut à tous,

    Je suis, tout comme vous, un très grand fan de séries et surtout de séries fantastiques et de SF.

    J’ai découvert Babylon 5 lors de son premier passage sur canal+ il y a quelques années et, bien que les effets spéciaux soient assez approximatifs, j’ai accroché tout de suite à l’histoire. Pour moi, c’est vraiment une série de référence en SF, car c’est plus qu’un space opera. Le côté intrigue, politique, mystère est vraiment une signature unique dans l’univers de la SF.

    Concernant Buffy…bon…franchement c’est extrêmement pathétique. Pour moi, ça rentre dans le cadre des séries pour ados. Le scénario est vide, les effets sont juste ridicules, bref j’ai essayé d’en regarder plusieurs lorsque ça passait sur m6 et c’est simplement imbuvable. Je suis assez fan des vampires en général (bon je ne parle pas de ceux qui brillent en plein jour, évidemment) mais là, j’avais de la peine pour eux.

  • Nico Darko

    L’analyse de Buffy est très légère je trouve. Elle reste l’un des chef d’oeuvre de la télévision, elle aurait mérité une analyse de quelqu’un qui la connait un peu mieux. Dire qu’elle est difficilement regardable aujourd’hui rend bien compte du problème qu’on connait de nos jours. Il y a cette forte tendance à privilégier la forme sur le fond (The Walking Dead, bien mauvais sur le fond, ou Game of Thrones, que j’apprécie pas mal tout de même).

    Buffy était une série qui n’impressionnait pas beaucoup sur la forme au début, mais dont le fond était toujours passionnant et très soigné. Et ça devient une oeuvre au visuel très important, et très vite (dès la saison 2), surtout quand Joss Whedon est à la réalisation. Des épisodes comme Graduation Day (3.22), Hush (4.10), Restless (4.22), The Body (5.16) et bien d’autres m’ont mis une putain de claque, en particulier sur la forme. La plupart des films ne peuvent pas se vanter d’une telle intelligence dans la réalisation (regardez simplement le 4.10).

    Et oui un des gros point fort de la série est son auto dérision, l’excellence de ses dialogues et les références à la pop culture. Mais si d’un côté la France la considère comme une oeuvre stupide, il ne faut pas non plus la réduire un un festival d’auto dérision. Son génie est justement dans sa capacité d’alterner et mélanger l’humour à des sujets graves. La série savait être très sérieuse, voir très sombre quand elle il le fallait. Il y a un tas de scènes à l’intensité dramatique et à la justesse rare.

    Quand à la saison 1, c’est clairement la moins bonne, mais je ne suis pas du tout d’accord pour dire qu’elle est à jeter. Tout est là, les personnages, les super dialogues, le plaisir de l’exploration des genres. Le kitsch y est juste beaucoup plus poussé, et le budget était infime, mais la saison vaut largement la peine d’être vue. Elle souffre juste d’avoir été énormément copiée par la suite, et on oublie qu’elle était révolutionnaire à l’époque.

    Pour ceux qui découvrent, je conseille toujours de regarder la saison 2 en premier (et en VO, absolument), qui si tout va bien vous convaincra du génie de la série. Vous pourrez ensuite vous faire les 12 épisodes de la saison 1, que vous pourrez apprécier bien plus facilement, en passant outre l’aspect kitsch (un peu comme Doctor Who saison 1).

    • http://twitter.com/alexandreletren Alexandre LETREN

      Dès que l’on s’attaque à une série avec une grosse communauté de fans, si on ne fait pas une critique pleines de louanges sur la série, on s’expose à des critiques, disant qu’on a pas été assez loin, pas dit assez de choses,…Nous avons eu les mêmes reproches du Babylon 5. D’abord, nous ne cherchions pas à faire une critique de fans. Season One n’est pas une émission de fans. On peut donc parfaitement trouvé des choses à redire, y compris sur la forme. C’est un peu facile il me semble de mettre volontairement de côté l’aspect visuel en disant « ce n’est pas important ». Pardon mais quand on fait une série, ça joue un peu quand même. Ceci dit en passant, ce n’est pas que sur le fond que l’on parle des qualités de Game of thrones ;)

  • Nico Darko

    Je comprends votre intention, et je respecte.

    Je suis juste un peu triste de retrouver partout en France cette vision réduite de Buffy, qui serait prise bien plus sérieusement si elle n’avait pas été diffusée dans la trilogie aux côtés de daubes comme Charmed et Smallville, dans une VF trafiquée.

    C’est toujours le problème des oeuvres au grand succès. Tout le monde en a entendu parler, ou a même vu quelques épisodes vite fait, et il y a un énorme a priori. Ce serait beaucoup plus facile de convaincre mon entourage de regarder Buffy si elle n’avait pas déjà été vendue comme une vulgaire série pour ados.

    Et je le redis, l’aspect visuel de Buffy est très soigné, voir exemplaire par moment. Il faut juste accepter la dimension kitsch de temps en temps et dépasser les 12 premiers épisodes.

    • http://twitter.com/alexandreletren Alexandre LETREN

      C’est tout aussi dommage de dire que parce qu’on est pas d’accord avec la vision d’une série, on en a une vision réduite
      Et Buffy n’a pas été diffusées aux côtés de Smallville, les deux séries ont 4 ans d’écart. Si Buffy a côtoyé Smallville, c’est au minimum dès la saison 4 et l’opinion des gens déjà faites

  • Nico Darko

    Je ne sais pas si votre vision est réduite ou pas. Mais je dirais que pour Buffy, il faut au moins avoir vu une saison entière (22 épisodes) en VO pour savoir de ce dont on parle. Si c’est le cas et que ce n’est pas votre tasse de thé, je respecte complètement, et l’opinion est légitime.

    Je parlais cependant des gens qui jugent la série après avoir vu quelques épisodes en VF sur M6, pas sérieusement et sans vision globale, et qui prennent plaisir à casser la série sur internet.

    C’est une observation, ce n’était pas le cas du podcast, qui même s’il m’a pas mal frustré, j’ai trouvé intéressant et où Patrick Beja disait des choses pertinentes.

    • http://twitter.com/alexandreletren Alexandre LETREN

      Pour ma part, j’ai vu les 7 saisons de Buffy

      • Nico Darko

        En effet, je viens de réécouter une partie du podcast. Question de goût donc.

        Je pensais donc plus à Cédric, qui a vu la série en pointillé et s’est arrêté après la saison 3. Je lui conseillerais vraiment de voir la suite dans de bonnes conditions (l’esthétique et les effets spéciaux n’ont rien à voir avec la saison 1), surtout s’il est fan de Firefly, puisqu’on retrouve selon moi la même qualité d’écriture et de saveur chez les personnages.

  • GoldenArrow

    Altercation malheureuse qui n’aurait pas du avoir lieu après mon commentaire.
    Je trouve dommage de faire semblant de vouloir concéder à l’opinion ce qu’elle a déjà acquis d’emblée à la TV : la possibilité de répondre d’un adjectif à plus d’une centaine d’épisodes.

    Certains peuvent le faire de Buffy comme des podcasts de Season1, ils ne s’en privent d’ailleurs pas.

    L’opinion et son expression ne devraient être vus que comme ce qu’elles sont: un moyen de gagner du temps sur la diffusion de la véritable information dans un monde où se livrer au délit d’initié est monnaie courante.

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  • Juninhopowers

    Très bon podcast, j’ai juste un petit regret, j’aimerai bien que l’on parle beaucoup plus de son spin-off, Angel, que je considère pour ma part bien meilleure a sa série mère.
    Plus sombre, très dramatique mais en gardant cette touche humoristique et d’auto-dérision signé Whedon.
    Et ça permettrai de parler des acteurs révélés par Joss, notamment Alexis Denisof et sa chouchoute, Amy Acker.

    • http://twitter.com/alexandreletren Alexandre LETREN

      On ne pouvait pas tout faire dans une seule émission. Mais on n’exclut pas d’évoquer Angel dans une future émission

      • Juninhopowers

        Oki oki, c’était pas un reproche, vous faites du très bon boulot et savoir que c’est envisagé me fait plaisir, cette série a tellement été massacré par TF1 qu’en France, on ne jure que par Buffy ce qui est dommage.
        Angel a une énorme force comparé a Buffy, c’est qu’elle ne vieillit pratiquement pas a avec le temps. C’est pas Kitch (hormis un peu la saison 1) et surtout, pas de manichéisme, le mal, c’est le groupe lui-même. Y a qu’a voir comment la série se finit, magistralement, voir dérangeant.